Passer au contenu principal
Le doigt d’un professionnel de la gestion des risques se tend vers un écran invisible où sont disposés des boutons illustrant divers risques.

État de la gestion des risques d’entreprise au Canada : étude comparative

Dans un monde en constante évolution, le succès passe par une bonne gestion des risques. Les organisations canadiennes sont-elles à la hauteur? Nous avons sondé 160 responsables en GRE pour le savoir.

De nos jours, la gestion des risques d’entreprise, ou GRE, est devenue plus essentielle que jamais, car de grandes menaces planent constamment : cyberattaques, risques liés à la protection des renseignements personnels et perturbations du monde des affaires. Au Canada, pour bien protéger les organisations contre les écueils et aider celles-ci à saisir les occasions au vol, il faut que la gestion des risques d’entreprise évolue et se développe. Si les programmes de GRE sont monnaie courante au pays, leur potentiel n’est pas toujours pleinement exploité faute de ressources suffisantes affectées à leur mise en œuvre. Cette étude vise à brosser un tableau complet des pratiques dans le domaine en guise de référence pour les organisations canadiennes. Des professionnels y font le point sur la façon dont leur organisation gère le risque d’entreprise dans un contexte économique incertain.

Élaboré conjointement par CPA Canada, le Conference Board du Canada et l’Institut mondial de gestion des risques du secteur financier, ce rapport de recherche traite des 10 principales constatations d’une étude de 2018 sur l’état de la GRE au sein des organisations canadiennes.

Principaux points abordés

  • la façon dont les fonctions de GRE sont structurées dans les différentes organisations étudiées
  • le rôle de surveillance du conseil d’administration à l’égard des fonctions de GRE
  • la fréquence moyenne des comptes rendus
  • les perspectives des responsables en GRE